Ce matin on a rendez-vous avec les filles. Sauf qu’il n’y a que Maf qui arrive car la pauvre Elsa a visiblement fait une indigestion 😩.
On va prendre un bus qui coûte 5cuc. Le principe de ce bus est de faire la même tournée toute la journée pour desservir 15 arrêts.
Nous on a choisi un premier arrêt à un hôtel qui offre une splendide vue sur le parc national !
A partir de là on a fait une ptite randonnée pour traverser ce parc. Pareil, la balade était au top du top ! Pas la peine de trop en dire, les photos parlent d’elles-mêmes !
On s’est même fait un pote :
Petit arrêt chez Leonardo de Vinci comme il se fait appeler pour qu’il nous explique la fabrication des cigares artisanaux.
Là on tombe sur un site dont les filles de Trinidad nous avaient parlé. Alors officiellement sur ordre de Fidel Castro (mais cette info est à vérifier) qui voulait développer le tourisme dans cette zone-là de la région, il a ordonné qu’un pan des molgotes (les espèces de montagnes) soit peint. 14 personnes ont travaillé sur ce « chef d’oeuvre » pendant 4 ans et voilà le Mural de la Prehistoria qui s’étend fièrement sur 120 mètres ! Rigolez rigolez, c’est de l’art ! La peinture représente l’évolution de l’Homme !
On retrouve les allemands et on décide de reprendre le bus direction la Cueva del Indio (la grotte de l’indien mais entre nous on n’a pas été convaincus par l’explication du guide du routard qui disait que des indiens avaient vécus dans cette grotte…). L’entrée était payante mais ça valait le coup ! On a embarqué sur une barque pour naviguer sur la rivière souterraine.
Retour au centre ville pour prendre des nouvelles d’Elsa et pour aller manger ! Après une (plusieurs) glace(s) c’est le moment de dire aurevoir aux 4 autres voyageurs et c’est dommage parce qu’on aurait encore bien voyagé avec eux !
Pour nous c’est l’heure de marchander notre retour à la Havane. Il n’a pas fallu longtemps pour arriver à se mettre d’accord et on est tombé sur une voiture bien confortable et un chauffeur extra ! Il discutait, il était drôle et surtout il ne nous a pas laissé tomber quand on a galéré à trouver une casa à la Havane. Il est seulement parti quand il était sûr qu’on allait être logé …!